F-GMHK - EC 135 T1

Société HELICAP

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Les différentes vie de l' EC 135 F-GMHK.

Appareil de "spare servant habituellement au remplacement des appareils en révision d'HELICAP, celui ci se voit régulièrement sur les différentes DZ d'hôpitaux Français. Comme les humains, il est un jour, ou il a besoin de "poser ses valises". Pour cela, il a choisi Poitiers. En effet, Helicap a le contrat du SAMU de Poitiers qui est un contrat régional depuis le 1er juillet 2002.  Voir article de Sud Ouest

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A Toulouse pour un remplacement En préparation à Paris pour le 1er Juillet
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Vous avez vu mon profil droit ? Et mon profil gauche ?
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L'une de ses premières mission, un transport pédiatrique sur Paris, à Issy les Moulineaux le 02 juillet 2002 - Quelques petites modification ont étés apportées au niveau des stickers....

 

 

Extrait de Sud-Ouest édition Charente-Maritine du mardi 2 juillet 2002 :

Hier matin, le premier hélicoptère sanitaire régional a été mis en service à Poitiers. Il s'agit d'un Eurocopter EC 135 qui sera prioritairement affecté au transport secondaire, c'est-à-dire au transfert des malades entre les hôpitaux du Poitou-Charentes. « Cet hélicoptère pourra également assurer des interventions primaires, des urgences, explique au CHU de Poitiers Stéphan Maret, mais elles seront sans doute bien moins nombreuses que les missions sanitaires. » L'Eurocopter est directement rattaché à l'Agence régionale d'hospitalisation (ARH) qui avait effectué en 1999 une étude pour évaluer les besoins des quatre départements de la région. La décision a ensuite été prise de financer le projet à hauteur d'un million d'euros coût de l'hélicoptère et de son pilote pour 500 heures de vol annuel. S'y sont ajoutés 100 000 euros pour installer à bord de l'Eurocopter les équipements médicaux nécessaires et 48 000 euros investis dans l'aménagement de la piste d'atterrissage sur le CHU de Poitiers où sera basé l'appareil.


Problèmes d'effectifs. Si le financement de ce premier hélicoptère sanitaire régional n'a pas posé de problème, il n'en a pas été de même, en revanche, pour constituer les équipes médicales intervenant à bord.
Les médecins urgentistes de Niort et d'Angoulême ont accepté de venir renforcer leurs collègues de Poitiers à bord de l'Eurocopter, mais les Rochelais n'ont pas souhaité s'associer aux tours de garde, et ce pour plusieurs raisons.
« Nous avons à La Rochelle des problèmes d'effectifs, souligne Daniel Boffard, le directeur de l'hôpital Saint-Louis. Envoyer un médecin de La Rochelle à Poitiers pour prendre un tour de garde, cela représente trois heures de transport aller retour qui s'ajoutent aux heures de présence sur place. »
« Il nous était difficile de répondre favorablement à cette demande de l'ARH, ajoute-t-il, alors que nous devons déjà participer à la médicalisation de l'hélicoptère de la Sécurité civile basé à La Rochelle. »
Avec le Dragon 17, la Charente-Maritime est effectivement déjà dotée de moyens d'interventions héliportés et l'appareil de la Sécurité civile réalise nombre de transports sanitaires, sur Poitiers ou sur le CHU de Bordeaux, par exemple.
Deux autres appareils sont également basés en Charente-Maritime, le Dauphin de la marine nationale qui réalise lui-aussi les missions d'urgence et, en période estivale, l'hélicoptère de la gendarmerie basé à Royan.
Les urgentistes charentais-maritimes ne participeront donc pas aux effectifs médicaux mobilisés autour du nouvel Eurocopter de l'ARH. Mais cela n'aura aucune incidence sur les missions de l'appareil qui interviendra en Charente-Maritime tout comme dans les trois autres départements de la région.